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bon ben je pense que tout est dit dans le titre ! jeux d’enfants, toute une histoire… une vie entière pour se dire » je t’aime » quatre-vingts ans pour démarrer une histoire d’amour ? et tout ça à cause d’un jeu ? ou peut-être grâce à un jeu. sophie et julien ont défini les règles du jeu. ils en sont, pour le restant de leurs vies, les arbitres? et souvent les victimes. « cap ou pas cap ? » « cap ! bien sûr ! ». ils sont cap de tout : du meilleur comme du pire. bafouer tous les tabous, défier tous les interdits, braver toutes les autorités, rire, se faire mal? cap de tout !? sauf, peut-être de s’avouer qu’ils s’aiment. ce jeu commence avec un pari innocent : un pari afin d’oublier que maman est gravement malade? afin d’oublier quand toute la classe te traite de sale polak. et quelques paris plus tard, le jeu devient ce qu’il y a de plus beau, de plus fort dans la vie des deux enfants. ils jouent, ils s’aiment? le jeu, l’amour? l’amour, le jeu : finalement c’est tellement plus simple d’être ami. et ainsi la vie passe, le jeu reste, de plus en plus intense, comme la passion ? et chaque fois qu’ils se répondent «cap !», ils se disent, «je t’aime plus que ma propre vie.» «plus que ma propre vie ?» «cap !» 16 octobre, 2011 à 16:06 | commentaires (0) | permalien etre ou ne pas etre… que dire? que faire? tu ne peux pas tout oublier comme ça… non je ne t’aime pas mais on a vécu tellement de choses, une partie de toi m’appartient. possessive? un peu trop peut être… mais quand je t’entends dire ça… ou il est le problème? je comprends tout à fait, au bout d’un moment, la même personne ne vaut finalement plus le coup. besoin de changement. surement. mais j’ai envie de me battre, me battre pour toi, pour moi, pour nous. relation libre, je m’éclate mais fais attention, je vais te rendre dingue, complètement dingue. et sans me laisser atteindre. le jeu recommence et je déteste perdre. 16 octobre, 2011 à 15:51 | commentaires (0) | permalien une boule au ventre ca m’a fait mal. beaucoup trop mal. mal de ne pouvoir te regarder. mal de devoir retenir ma main pour te toucher. mal de ne pas sentir tes lèvres. mal de savoir qu’on sera encore séparés. mal de ne pouvoir me serrer contre toi. mal de savoir qu’un jour tu trouveras quelqu’un avec qui tu pourras te montrer sans crainte. mal de devoir me contrôler. mal de savoir que ce sera toujours ainsi. mal d’avoir mal. mal de t’aimer à l’impossible. 4 septembre, 2011 à 16:39 | commentaires (0) | permalien 14 juillet… juste un gros coup de gueule a passer ! un sentiment de jalousie qui menvahit comme ca sans que je puisse l’etouffer… ok ce n’était peut être pas une bonne idée de regarder dans ses mails, ok je sais que c’est que de l’amitié, ok de toute façon je n’ai même pas mon mot a dire vu que je ne suis plus rien de plus qu’une amie pour lui mais il nempeche… j’arrive pas a men debarasser ! et puis même, ce mec je l’aime pas, je le sais mais pourtant, je ne peux mempecher de lui parler, de penser a lui, après une journée sur les nerfs, rien que échanger quelques sms avc lui m’apaise, comme si ca me prouvais qu’il ne moubliait pas… j’en ai juste marre ! allez passer un 14 juillet seule aussi…!!! 14 juillet, 2011 à 21:02 | commentaires (0) | permalien 12 juillet 2011 je crois que je viens de me faire larguer… mais comment le savoir quand on sait qu’en réalité ça n’a même jamais commencé? c’est peut être pour ça après tout que j’ai l’impression de ne rien ressentir, ne rien éprouvé… ou parce que j’ai fermé mon coeur avant que ça n’arrive, certaine que ça allait se finir ainsi de toute façon. parce que à chaque fois c’est la même chose : retour au point de départ « je t’aime, on s’aime mais je ne peux pas mentir. » comment lui en vouloir aussi? j’ai toujours dit que je ne m’interposerai pas. 2 jours, j’en aurai battu des records… mais je le savais. alors il n’y a plus qu’à continuer, tourner la page tout en faisant quelques « écarts » de temps en temps parce que sy ça doit arriver, ça arrivera. mais tu n’auras pas le courage, juste peur. comme d’habitude. 12 juillet, 2011 à 15:49 | commentaires (0) | permalien vacances !!! ça y est !! après des moments difficiles : brevet, examens, orientation c’est enfin fini !! et j’ai eu le lycée de mon choix alors après un gros coup de stress, c’est un immense soulagement ! le destin décidera de mon avenir … mais à présent : vacances, repos, oubli ! et une semaine de vacances entre amis pour en profiter ! que dire de plus? c’est indescriptible cet état d’euphorie dans lequel je suis…!!! 29 juin, 2011 à 16:28 | commentaires (0) | permalien un bout d’histoire… normal 0 21 false false false microsoftinternetexplorer4 -- -- /* style definitions */ table.msonormaltable {mso-style-name: »tableau normal »; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent: »"; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family: »times new roman »; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} -- a douze ans, on découvre l’amour, on s’en amuse ou on se prend au sérieux tout dépend de la personnalité de chacun… mais si un jour on se fait plaquer, on passe à autre chose, on tourne la page après quelques jours car ce n’était pas très sérieux, ce n’était qu’une petite histoire passagère dont on savait que la fin était proche. les années passent, les histoires s’enchaînent… aucune qui ne valait vraiment le coup et puis un jour une détresse, un moment d’ennui, l’envie de s’amuser, de découvrir les limites et d’essayer de les repousser, un petit flirt qui peu prendre d’innombrables conséquences, l’envie de jouer avec le feu en évitant de se brûler. jusqu’où pourra-t-on aller ? là est toute la question… le petit flirt amical et les délires prennent plus d’ampleurs, deviennent plus forts, plus intenses, on découvre la jalousie, on joue avec elle, les sentiments se transforment et on découvre que l’on ne peut pas vivre sans ce jeu. mais est-ce vraiment encore un jeu ? on essaie de se convaincre, de se voiler la face, de ne pas voir la réalité comme elle. une amitié amoureuse? peut être… ce nouveau sentiment pourrait-il tout gâcher ? tout redeviendrait alors comme avant et on oublierai, encore… et si ce n’était pas partagé ? ce n’est pas un bon argument car à ce stade là, chacun sait qu’il a franchi la limite, qu’il est passé de l’autre coté, au delà des frontières et que son « compagnon » de jeu est dans le même cas pourtant on fait comme si de rien n’était mais les mots ont plus d’atteintes… un jour, un des deux fera le premier pas, s’avouera à lui-même d’abord puis à l’autre que les choses ne sont plus pareilles, que c’est plus profond et que des milliards de choses ont resurgit du passé. ce jour là sera un soulagement mais aussi une crainte. et si cet aveu brisait toute la magie de ce qu’il y avait entre vous ? si tout n’était plus comme avant ? survient alors la promesse du « quoi qu’il arrive on restera amis… ». pour l’instant il n’y a pas de « quoi », c’est juste une sensation intense, un bonheur que l’on ne peut décrire, un sentiment dont on ne peut mettre de mots dessus. les promesses, les projets, les paroles… mais tout ça peut il avoir de la valeur sachant que plus d’une centaine de kilomètres vous sépare ? quelle importance après tout ? chacun pense ce qu’il dit, mais cela résistera-t-il à la réalité ? vivre au jour le jour ! aujourd’hui pas de doutes, pas d’incertitudes, juste vous deux et votre histoire… comment auriez vous pu penser qu’un tel jeu pour vous faire aimer à ce point ? car oui, c’est de l’amour, le vrai mais la première fois n’avait pas marché, pourquoi la deuxième oui ?… un jour, une nuit, un soir, un sms, un coup de téléphone, une personne peut tout détruire et à ce moment là seulement, vous prendrez conscience de l’importance que cette personne prenait dans votre vie,